Deux livres

Publié le

Deux livres paraissent aujourd'hui, qui décrivent la fin de deux systèmes. Vus de deux angles radicalement opposés, d'ailleurs (comme ça, on ne m'accusera pas d'être partisan).

L'un parle de la fin du système américain

Voir L'imposture américaine, de J.-Ph. Immarigeon

http://livre.fnac.com/a2503908/Jean-Philippe-Immarigeon-L-imposture-americaine-splendeur-et-misere-de-l-oncle-Sam?Mn=-1&Mu=-13&Ra=-1&To=0&Nu=1&Fr=0











L'autre parle de la fin du capitalisme

Voir Pour sauver la planète, sortez du capitalisme, de H. Kempf

http://livre.fnac.com/a2503916/Herve-Kempf-Pour-sauver-la-planete-sortez-du-capitalisme?Mn=-1&Mu=-13&Ra=-1&To=0&Nu=1&Fr=0











Je n'ai lu ni l'un ni l'autre (mais les deux précédents).
Mais leur sortie simultanée est amusante

Et surtout significative

O. Kempf
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J
Et bien justement, ce vieux débat n'est toujours pas terminé et ne le sera jamais : Leibnitz et Newton contre Descartes. L'erreur américaine, qui fut également celle de la fin des Lumières, est d'avoir voulu clore la dispute ; ce fut pourtant fort utile jusqu'à ce jour. Mais, et c'est plus grave, de ne plus pouvoir ni vouloir la rouvrir. <br /> <br /> Et vous verrez dans le livre que c'est également une philosophe de mes amies qui m'a soufflé cette idée du mal américain cartésien, mais que Tocqueville en avait eu déjà l'intuition (une de plus). <br /> <br /> Bien à vous. <br /> <br /> J-Ph I
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I
Je n'ai pas lu le livre de votre homonyme, mais j'aurais pu reprendre son titre pour le premier chapitre du mien. J'étends ensuite la réflexion, rebondissant sur un développement de Tocqueville dont je faisais déjà citation dans "American parano" : le mal américain n'est que l'erreur cartésienne. Donc sortir du capitalisme, bien entendu, sauf que comment faire ?, mais surtout sortir du déterminisme managérial qui nous a conduit là où nous sommes, après deux siècles de succès, mais qui est aujourd'hui un concept épuisé. Bien à vous. Jean-Philippe Immarigeon
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O
<br /> Mon homonyme... est mon frère.<br /> Quant à Descartes, j'ai vu vos interrogations. Un philosophe que je connais en dit le plus grand mal, et ne cesse de louer Leibnitz....<br /> <br /> <br />